Mountakhab - Vague de soutien à Amine Harit

Amine Harit aura au moins un certain réconfort à lire ses déclarations.

Le marocain, Amine Harit, gravement blessé au genou gauche lors de la dernière rencontre remportée par son équipe de Marseille face à l’AS Monaco (3-2) au cours de la 15ème et ultime journée de championnat français avant la trêve liée au Mondial dont il sera privé, a reçu une vague de soutien de toute part, à commencer par ses compatriotes en équipe nationale.

Effectivement, outre le peuple marocain qui pleure son absence, le ‘’Petit Prince’’ à reçu le soutien d’anciens cadres de l’équipe nationale comme ce fut le cas de son ancien capitaine en sélection, Mehdi Benatia, qui a posté une photo d’Amine sur son compte Instagram avec comme légende « Petit frère. C’est une nouvelle épreuve douloureuse qui te tombe dessus… Saches que je suis de tout cœur avec toi, je connais ta force de caractère et ta détermination. Tu vas certainement beaucoup manquer à l’OM et a l’équipe nationale du Maroc, mais que je suis convaincu que tu reviendras encore plus fort ».

Un soutien que d’autres joueurs actuels de l’équipe nationale marocaine ont aussi exprimé sur les réseaux, comme ce le fut pour Achraf Hakimi et Hakim Ziyech.

Cette preuve d’affection aura sûrement le don d’atténuer la peine de notre lion, une peine que le pére du joueur a tenu à souligner « Il est dans un état psychologique très difficile et critique, je le rejoindrai, si Dieu le veut, en France, avant qu'il ne soit opéré ».

Son coéquipier et actuel capitaine de l’OM, Dimitri Payet, s’est aussi exprimé sur le sujet indiquant qu’il était choqué de cette blessure et qu’il lui souhaitait un prompt rétablissement.

Pour sa part, Axel Disasi, le joueur Monégasque récemment convoqué en équipe de France en remplacement du parisien Presnel Kimpembe forfait pour le Mondial, et à l’origine de la blessure du meneur de jeu marocain, s’est aussi dit attristé par cette situation « Dès que j’ai vu Amine à la suite de notre contact, j’ai compris que c’était grave et j’ai mesuré la portée que sa blessure allait avoir pour lui. Je ne peux pas ressentir un centième de ce qu’il vit aujourd’hui. Et cela m’attriste profondément ».

Son forfait acté, les mots ne pourront quand même rien y faire. Courage champion !